Je conclus, monsieur le président.
Malheureusement, la commission ne m'a pas suivi. Elle a même adopté, à chacun des articles de la proposition de loi, des amendements de suppression.
Conformément au texte de l'article 42 de la Constitution, et la suppression de l'ensemble des articles valant rejet du texte, la présente discussion en séance publique a au moins l'avantage d'avoir lieu sur le texte initial de la proposition de loi. Si la majorité la rejette, comme elle l'a fait en commission, chacun sera ainsi clairement informé de nos prises de position, mais surtout de vos choix.
Monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues du groupe UMP, l'heure de vérité a sonné. J'espère que ce ne sera pas l'heure du glas ! (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)