Il faut prendre garde à ne pas confondre l'empreinte digitale, qui appartient à chacun d'entre nous, et le test ADN.
Cette carte de l'humain est réservée aujourd'hui à des situations particulières. Le test ADN permet face à l'horreur – en cas d'enlèvement d'enfant par exemple –, de rechercher le coupable. En cas de contestation de paternité, si l'autorité judiciaire le demande, il permet de prouver la paternité.
Nous risquons d'ouvrir une boîte de Pandore si l'autorité administrative utilise les empreintes ADN. Qui les rangera ? Où? Comment ?