N'oubliez pas, monsieur Goldberg, que l'État a la tutelle de l'ANRU, ce qui justifie la présence de ses représentants au conseil d'administration.
En ce qui concerne les quartiers prioritaires qu'évoquait M. Pupponi, l'État avait fixé un objectif de 70 %, nous en sommes à 73 %. On voit donc que la tutelle de l'État s'exerce parfaitement.
Quant aux avenants et aux surcoûts, ces problèmes seront pris en charge dans le cadre du plan de relance, dans la limite, naturellement, des crédits qui seront affectés.
(L'amendement n° 436 n'est pas adopté.)