On pourrait trouver étrange que le rapporteur et notre collègue Lecoq proposent le même amendement de suppression. On pourrait penser que les mêmes arguments motivent leur démarche.
Nous avons débattu de cette question à l'occasion de l'examen d'une loi d'urgence – l'urgence est devenue une habitude – défendue par M. Devedjian. Le sort des fouilles archéologiques comme celui, d'ailleurs, des Bâtiments de France, a été réglé par quelques amendements de la majorité, considérant que notre patrimoine ne méritait pas l'attention qui lui était jusqu'à présent accordée.