Nous ne sommes pas en mesure d'appréhender tous les cas. Nous agissons, j'insiste, dans la précipitation. Jusqu'à présent, nous avons avancé pas à pas sur les questions de bioéthique appliquées à la médecine ou à la justice, questions que nous avons bien « cadrées ». Sur ce point, je rejoins totalement M. Braouezec selon lequel ce genre de débat mérite non pas un affrontement politicien mais une réflexion commune.
Il serait dommageable pour l'image de la France, pour les parlementaires, que cette rupture dont on parle à propos de tant de domaines, s'applique aussi à celui de la bioéthique.