Il peut y avoir, et il y a ici des gens de talent capables de tenir l'Assemblée en haleine des jours et des nuits, en défendant des amendements plus ou moins « cavaliers », plus ou moins en relation avec le texte lui-même.
Mais j'allais dire – et cela a d'ailleurs été constaté vingt fois, sous toutes les Républiques, par les organes juridictionnels – que ce n'est pas l'essentiel et que ce n'est pas parce qu'il faut organiser cette liberté qu'il faut la restreindre dans la Constitution.
Il y a donc, à mes yeux, une différence tout à fait fondamentale entre inscrire la totalité de ce droit dans la Constitution et son organisation dans le règlement des assemblées,…