Promesse non tenue !
Pire, nous avons le sentiment qu'Arcelor Mittal se contentera du minimum légal et que l'État – quasiment absent – pèsera très peu lorsqu'il s'agira de demander davantage à l'entreprise.
Quand il nous a reçus à l'Élysée, le Président nous avait promis qu'il reviendrait en Lorraine avant la fin de l'année pour s'expliquer sur les restructurations militaires. Nous l'attendons toujours. Promesse non tenue !
À quand de nouvelles noces ? Va-t-il nous promettre une nouvelle fois de revenir, ou bien veut-il, comme je vous demande de l'en convaincre, monsieur le Premier ministre, venir vraiment au coeur du bassin sidérurgique pour s'opposer à la suppression de ces 1 400 emplois ? Nous ne lui en demandons pas plus. (Applaudissements sur de très nombreux bancs du groupe SRC.)