Je dirai simplement que, si on peut toujours l'améliorer, il faut garder notre système, cette synthèse merveilleuse de la liberté des anciens, celle de participer à la collectivité parce qu'on est citoyen, et celle de voir ses droits fondamentaux protégés parce qu'on est un homme.
Si l'on parle des « droits de l'homme et du citoyen », et non des « droits de l'homme », c'est bien parce que, si l'on ne choisit pas d'être un homme, ou une femme, on n'est citoyen que si on veut l'être, et on n'a pas à obliger ceux qui résident en France à devenir des citoyens.