L'argument selon lequel il faudrait ensuite toiletter le code pénal n'en est pas un. C'est une argutie de faiblesse, de renoncement, de capitulation sur des choses fondamentales.
Je suis d'accord à la fois avec François Bayrou – une fois n'est pas coutume ! – , avec Jean-Christophe Lagarde, avec mes collègues de gauche et, si j'ai bien compris, avec beaucoup d'autres collègues de droite. Quand, sur de tels sujets, apparaissent des convergences fortes, cela vaut la peine de réfléchir et que le Gouvernement nous écoute, branche son sonotone (Sourires), ce à quoi il ne semble pas être décidé pour l'instant.