Ces derniers se posent aujourd'hui beaucoup de questions : M. le président Ollier et moi allons donc tout faire pour que la loi soit appliquée selon l'esprit dans lequel elle a été votée.
Quatrième point : le FISAC, le Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce. Nous avons là un vrai désaccord, monsieur le secrétaire d'État – l'avantage est de le reconnaître –, puisque, contrairement à ses engagements, le Gouvernement n'en a pas maintenu les crédits.