Éric Besson, secrétaire d'état chargé de la prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique :
Le Gouvernement est d'accord avec les principes énoncés : oui, les fréquences sont un bien rare ; oui, il s'agit d'un bien public immatériel que nous voulons tous valoriser.