L'amendement n° 417 vise à renforcer le pouvoir de sanction de l'ARCEP, en autorisant la mise en place d'un calendrier dans les mises en demeure qu'elle prononce. Le Gouvernement y est favorable – sous réserve qu'il soit précisé par le sous-amendement n° 1538 – tant il est vrai que cette disposition rendra le contrôle des opérateurs par l'ARCEP plus efficace.