J'ai bien entendu votre réponse, madame la secrétaire d'État. Mais si, comme vous le prétendez, le Gouvernement intervient en faveur de cette entreprise, comment se fait-il que les élus n'aient jamais pu rencontrer le commissaire à la réindustrialisation qui doit suivre ce dossier ? Comment expliquez-vous que les organisations syndicales n'aient toujours pas obtenu de rendez-vous avec le préfet ? Enfin, pensez-vous qu'une activité de recherche qui n'est pas liée à une activité de production puisse être pérennisée ? Je maintiens donc que le Gouvernement – pour des raisons qui nous échappent – s'inquiète fort peu du sort de cette entreprise. Mais croyez bien que nous, les élus nationaux et locaux, resterons très vigilants.