Madame la secrétaire d'État, je vous remercie de votre réponse. Comme vous, je suis plus favorable à la déconstruction qu'à l'immersion, et je n'ai pas douté de la volonté du Gouvernement à cet égard. Mais celui-ci doit à présent passer aux actes en inscrivant les crédits nécessaires dans la loi de programmation militaire.