On doit pouvoir trouver assez facilement un point d'équilibre. Ce sera d'ailleurs la démonstration qu'il n'est en aucun cas question pour nous de mettre sous tutelle, de centraliser ou d'établir une quelconque mainmise. La meilleure manière de sortir de ce débat par le haut, c'est que l'évaluation soit pilotée par le conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie, dans lequel l'État est présent et les régions représentées. Si Pierre Méhaignerie accepte de rectifier en ce sens son amendement, ce serait une solution de compromis.