D'abord, c'est un sujet qui relève davantage de la loi de bioéthique, que nous devrions réexaminer prochainement. Ensuite, quelle serait l'influence d'un vote sur la non-brevetabilité du vivant par rapport à ce qui se passe dans le monde entier ? Nous fermerions la porte à toute commercialisation nationale – les plantes hybrides, brevetées, résultent bien d'une manipulation du génome – tout en l'ouvrant plus grand encore à Monsanto et à son impérialisme, contre lequel je lutte, quoi qu'en disent certains.
Donc, prenez garde ! Voter cet amendement, ce serait s'enfermer dans un système et laisser la porte ouverte à toutes les grandes multinationales.