Ils peuvent en mourir en effet. Les aides que les communes ont l'autorisation de consentir actuellement pour compenser le préjudice sont trop faibles pour constituer le moyen de passer un moment difficile. Quand le centre-ville est devenu plus difficilement accessible du fait des travaux, il y a un vrai risque de compromettre la vie même du centre-ville après la restauration parce que des commerces n'auront pas survécu. Les petits commerces, comme les bouchers ou les fleuristes, qui jouent un peu un rôle de service public, vivent difficilement et il faut les aider. Pour ma part, j'adhère à ces trois amendements, qui envoient un bon signal.