Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, le printemps est arrivé depuis quelques jours. Le temps des cerises et du merle moqueur se rapproche ! (Sourires.). Or, c'est la panique à bord ! Comment éviter la pagaille – que nous avions prévue – suscitée par la suppression d'un jour férié, en l'occurrence le fameux lundi de Pentecôte ?
Je me souviens du scepticisme de nombre de députés de la majorité de l'époque, et je pourrais reprendre intégralement les propos que j'ai tenus en 2004 dans cet hémicycle.