Il faut donc non seulement poursuivre mais amplifier la massification des effectifs. Voilà le vrai tabou qu'il faut faire sauter, et non les complaisances politiques que vous dénoncez. En effet, au lieu de préparer cette croissance des effectifs, vous indiquez déjà qu'il faut « rompre avec la complaisance politique qui consiste à faire croire aux étudiants et à leurs familles que l'égalité des chances, c'est le droit pour tous de tout faire aussi longtemps que possible ». Personne ne demande cela, madame la ministre ! Chacun souhaite seulement étudier, et si possible dans une bonne université française.
Vous théorisez déjà la stabilisation des effectifs, ce n'est pas la voie qu'il faut suivre.