Madame la ministre, à travers vous, c'est tout le Gouvernement que je voudrais remercier pour ce texte, notamment le Premier ministre qui, on le sait, l'attendait avec impatience puisqu'il avait espéré le voir présenter il y a déjà quelques années. C'est chose faite : ne boudons pas notre plaisir mais permettons, par son adoption, à l'université française de vaincre ses faiblesses. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire et du groupe Nouveau Centre.)