C'est mon ambition pour elle ; c'est mon ambition pour la France.
Mesdames et messieurs les députés, je vous propose sans plus tarder de retourner la célèbre phrase de Max Weber qui disait : « la politique n'a pas sa place dans une université ! », en donnant maintenant toute sa place à l'université dans le débat républicain.
Je vous soumets aujourd'hui le projet de loi relatif aux libertés et aux responsabilités des universités avec beaucoup de fierté, la fierté de porter devant vous l'ambition tout entière d'un peuple qui fait le pari de la connaissance et qui fait confiance à ses élus pour faire de ses rêves la réalité de demain. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire et du groupe Nouveau Centre.)