Madame la présidente, monsieur le ministre d'Etat, madame la secrétaire d'État, monsieur le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, je maintiens que l'intervention de M. Chassaigne a bel et bien été brillante. Je veux le redire parce qu'il semblerait que, en face, on ne l'ait pas bien écouté ni bien compris que ce projet recelait plusieurs dangers, au regard de la démocratie d'abord, au regard de la santé ensuite.