Je vous appelle tous, après l'orateur précédent, à voter cette exception d'irrecevabilité, pour trois raisons.
La première, très bien décrite par M. Peiro, tient à cette reprise en main quasi militariste du groupe UMP visant à priver ses députés de leur liberté de conscience, sinon de la simple possibilité d'invoquer une clause de conscience au moment de voter ou pas un texte qui engage, comme vient de le dire M. Brottes, non seulement nous-mêmes, mais nos enfants et petits-enfants (Vives protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.).