Juste un mot, parce que j'ai été interpellé par le rapporteur pour avis de la commission des finances.
Je voudrais insister sur une mesure que nous avons prise voici quatre mois et qui répond à vos interrogations.
Vous dites, monsieur le rapporteur pour avis, qu'il y a 4 000 investisseurs providentiels dans notre pays, alors qu'il y en a beaucoup plus en Angleterre, et encore plus aux États-Unis. C'est vrai. Mais ce que vous n'avez pas dit, c'est que les 600 millions d'euros dégagés pour investir dans les PME par la mesure de fléchage de l'ISF que nous avons adoptée ont permis d'attirer plusieurs dizaines de milliers d'investisseurs providentiels.