Volonté politique de nos partenaires ensuite, en particulier de nos amis allemands. Volonté politique de la présidence portugaise enfin, qui a rédigé en un temps record le traité modificatif.
On le voit bien : après le « non » français, tout le monde a fait de la recherche d'une solution aux problèmes institutionnels de I'Europe sa priorité. La France ne peut pas se permettre aujourd'hui de décevoir une nouvelle fois ses partenaires. (Exclamations sur les bancs du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)
J'entends certains réclamer un référendum.