Nous continuerons, certes, mais nous ne pouvons tout nous permettre.
À propos du prêt à taux zéro, je vous rappelle que l'on est passé d'un plafond de l'ordre de 20 000 ou 22 000 euros à un plafond de plus de 32 000 euros. De surcroît, nous ne nous sommes pas contentés de cette mesure, monsieur Sandrier, nous avons également augmenté considérablement le plafond de ressources.
Par ailleurs, quand vous dites que les banques profiteront du crédit d'impôt, je me permets de vous reprendre, car c'est totalement inexact. Le crédit d'impôt est calibré – et je suis bien placé pour le savoir pour avoir participé avec M. Daubresse au montage du dispositif –, le taux d'intérêt réel des banques étant contrôlé de manière tout à fait transparente.