Elle a le mérite d'exister et je la respecte. Mais, je pense surtout aux familles, qui, dans une ville comme la mienne, s'entassent dans des F2 ou F3. Jean-Yves Le Bouillonnec connaît des situations identiques d'appartements occupés par six, sept, huit personnes, des jeunes issus de familles ouvrières ou de l'immigration. Comment, dans ces conditions épouvantables, peuvent-ils étudier ?