Le débat devrait donc être ouvert, voire consensuel, et nous permettre de mettre enfin en place un système qui corresponde à l'effort de la nation en faveur de la formation professionnelle et sorte cette dernière, en partie du moins, de la crise qu'elle traverse.
J'insisterai plus particulièrement sur la qualité de la formation. On a beaucoup parlé des acteurs, qui débattent, – et à juste titre, car ce sont les ordonnateurs du système – mais on a négligé le fait qu'une bonne formation professionnelle passait par de bons formateurs. Or, de ce point de vue, notre échec est patent.