Même avis. Ces amendements correspondent à un changement de philosophie complet, que vous assumez, mais que nous ne partageons pas.
Si l'on veut, justement, que davantage de salariés profitent de ces dispositifs, où sont-ils ? Dans les PME, c'est vrai. Mais quelle est la meilleure formule ? C'est la formule la plus souple, c'est-à-dire l'intéressement. Et d'ailleurs, à l'époque, comme Jean-Pierre Balligand l'a dit lui-même, c'est le choix que vous aviez fait sous le gouvernement de Lionel Jospin : laisser la possibilité de choix facultatifs. Cela nous semble la meilleure formule, à une seule condition : qu'il y ait une incitation fiscale claire et forte. C'est la logique du crédit d'impôt. Et c'est précisément la raison pour laquelle nous ne vous suivrons pas – sur ces amendements comme sur les suivants.