Le budget 2008 constitue une nouvelle étape pour rendre notre fiscalité plus compétitive et plus attractive en jouant sur deux plans : le niveau des prélèvements obligatoires et leur structure.
Cela étant, je n'hésite pas non plus à affirmer que les impôts doivent diminuer autant que possible. Le constat est sans appel – vous l'avez dressé, monsieur Bouvard – : avec un taux de prélèvements obligatoires égal à 44,2 % du PIB en 2006, la France se classe parmi les pays où la pression fiscale est la plus forte au monde. (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)