Ces amendements reviennent pourtant à cela, monsieur Cochet, puisque, s'ils étaient adoptés, l'effort thermique demandé à une administration publique concernant ses bâtiments pourrait être partiellement allégé par la plantation de végétaux pérennes organisée par cette même administration. Une telle plantation devrait-elle se situer à côté du bâtiment, un peu plus loin, voire à dix kilomètres ? On n'en sait rien. Est-ce que ce serait le dispositif le plus efficace ? Je m'en rapporte à la sagesse de l'Assemblée. Mais je rappelle que nous sommes en train de débattre des normes thermiques des bâtiments publics.
Cela étant, développer les plantations, y compris dans le domaine public, me paraît une absolue nécessité.