Vous-même, monsieur le ministre, l'avez revendiqué ici, en conclusion de nos débats, en affirmant votre volonté de « fâcher les personnels ».
Chacun l'a bien compris, cette frénésie législative estivale, dont le service d'accueil fait partie, cette volonté d'affrontement, vise à créer des foyers d'agitation pour détourner l'attention, pour vous éviter de rendre des comptes, pour masquer votre échec éducatif, votre échec économique, votre échec majeur sur le pouvoir d'achat. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Chers collègues, il faudra plus que les provocations d'une session extraordinaire pour faire oublier aux Français leurs conditions de vie !