Monsieur le président, monsieur le ministre, chers collègues, le débat sera long, donc je serai bref et m'abstiendrai de répéter ce qui vient d'être exposé. Mais je tiens à remercier les deux rapporteurs pour la qualité de leur travail.
Il y a quelques mois, j'étais, avec entre autres Gilles Carrez, en Suède. Nous avons mené des travaux pour préparer un certain nombre de textes. Je me souviens de ce que nous ont dit les représentants des organisations syndicales représentatives suédoises : ils ont du mal à comprendre que les Français préfèrent le débat d'idées à l'épreuve des faits.