Je serai bref. Nous sommes dans un quiproquo qui mérite quelque explication de votre part, monsieur le ministre.
Deux conceptions s'opposent : celle que nous défendons selon laquelle il doit y avoir une co-responsabilité – le paysan n'est pas seul dans cette affaire – et la vôtre, selon laquelle le paysan pourra se retourner contre le distributeur, mais seulement après qu'il aura été mis en cause. Imaginez la solitude de nombre de petits agriculteurs face à l'obtenteur de semences ! Je ne voudrais pas être à leur place !