Mais, en réalité, à travers son génie civil – ses fourreaux – et du fait de la propriété du réseau de téléphonie cuivre, France Télécom dispose d'un avantage historique considérable qui, si nous ne prenons pas les bonnes décisions sur la mutualisation, freinera le déploiement des fibres optiques.
Madame la ministre, messieurs les secrétaires d'État, nous avons désormais l'expérience de tels débats et nous voyons bien que, comme d'habitude, les avis sont très tranchés. Pour l'instant, France Télécom ne veut pas entendre parler de mutualisation, hormis en pied d'immeuble. Mais, comme d'habitude, France Télécom finira bien par assouplir sa position, après avoir gagné du temps. Nous espérons que, à la fin de ces débats, nous serons parvenus à un accord plus audacieux.
Enfin, madame la ministre, il y a des sujets que nous ne pouvons plus renvoyer de loi en loi.