Je voudrais vous rappeler un élément qui me paraît important du point de vue de nos concitoyens : la situation actuelle des marchés financiers. Je ne voudrais pas laisser accréditer l'idée selon laquelle les marchés financiers seraient actuellement dans un désarroi grave. Nous sommes au contraire, actuellement, en train d'observer un début de régularisation et de rétablissement, en particulier en ce qui concerne les prêts interbancaires. Je crois qu'il ne faut pas s'alarmer. La finance française n'est, aujourd'hui, ni dans la masse ni dans la nasse, pour reprendre l'expression que vous avez utilisée tout à l'heure.