Monsieur Balligand, je tiens à vous répondre sur quelques-uns des points que vous avez évoqués.
Je veux surtout dissiper un malentendu. Loin de nous, bien sûr, l'idée de remettre en cause le système. Loin de nous l'idée de préparer un « siphonnage ». Et loin de nous l'idée de préparer le lit des banques, comme si elles allaient soudain se repaître d'un produit d'épargne aussi avantageux.