Nous légiférons dans le cadre de la procédure d'urgence, ce qui nous prive d'une navette parlementaire qui aurait peut-être permis d'enrichir davantage le texte ; au moins aurions-nous eu la possibilité de mieux défendre certains amendements qui paraissent très légitimes. En tout état de cause, le recours à cette procédure d'urgence paraît incompatible avec le fait de laisser passer un an avant l'entrée en application de certaines dispositions de ce texte. Je me rallie donc aux arguments excellemment développés par mes collègues Jean-Yves Le Bouillonnec et Marc-Philippe Daubresse.