cet amendement propose de maintenir un fonds de soutien parfaitement autonome au sein de l'UESL, plutôt que d'intégrer l'activité de ce fonds dans celle, plus globale, d'un fonds d'intervention. Le maintien d'un tel fonds, dont l'objet était de financer un dispositif de sécurisation pour des prêts émis entre 1999 et 2003, ne me paraît vraiment pas justifié. Les montants dépensés chaque année à ce titre sont désormais très limités : moins d'un million d'euros. Je crois franchement que multiplier de tels fonds nuirait à la lisibilité de l'ensemble du dispositif. C'est la raison pour laquelle j'émets un avis défavorable à cet amendement.
(L'amendement n° 378 n'est pas adopté.)