En fait, j'entends tout du côté de la « thèse 2011 », j'entends tout du côté de l'antithèse, au-delà de 2011 – et je m'adresse à M. Pinte – mais je n'entends rien sur la synthèse ! Je vais donc essayer de vous proposer une synthèse. Je rappellerai simplement que tout votre raisonnement repose depuis plus d'une heure sur l'idée qu'en 2011, ce sera le désastre. Je ne suis pas Mme Soleil. Je ne suis pas non plus Nostradamus. Je dis qu'à chaque année suffit sa peine. Nous connaissons tous le contexte dans lequel nous évoluons aujourd'hui. Pourquoi préjuger qu'en 2011, nous serons incapables de trouver les bonnes solutions en fonction du monde tel qu'il sera et tel qu'il tournera ? Pour l'instant, je m'en tiens modestement au début de l'année 2009.