Je ferai deux observations.
Monsieur Folliot, je suis étonné, voire quelque peu heurté, par votre argumentaire. J'aimerais savoir où est, dans votre exposé, la solidarité avec les personnes susceptibles de bénéficier de la loi DALO. Personnellement, je suis de ceux qui, non seulement, ne sont pas choqués par la réservation des 25 % au DALO, mais qui, au contraire, la recommandent. J'avoue ne pas très bien comprendre comment un représentant du Nouveau Centre peut tenir un discours totalement inverse à la solidarité que, par ailleurs, il préconise.
Monsieur Le Bouillonnec, je reconnais votre virtuosité, mais, en l'occurrence, j'ai du mal à suivre votre dialectique !