Je voudrais répondre aux questions très pertinentes de M. Le Bouillonnec. Même s'il peut y avoir des interrogations, un assèchement n'est pas du tout avéré. Comme vous l'avez dit vous-même, monsieur Le Bouillonnec, le retour des prêts alimente les fonds du 1 %, et je peux vous affirmer très solennellement qu'il n'y a pas de volonté du Gouvernement d'y mettre fin, bien au contraire.