Je ne mets absolument pas en cause votre sincérité, monsieur le ministre. En revanche, je maintiens mes propos sur votre présentation de l'augmentation du FCTVA. Celle-ci ne résulte pas d'un choix de votre part, mais d'une décision prise par les collectivités locales il y a deux ans. Quand j'entends certains – vous-même, monsieur le ministre ou encore le rapporteur général – indiquer qu'elle serait due à votre souci de l'avenir des collectivités, je maintiens que vous ne croyez pas à ce que vous dites.
(L'amendement n° 214 , repoussé par la commission, n'est pas adopté.)