La question de confiance que vous posez est en revanche un peu plus éloignée de l'esprit de nos institutions, et un peu plus surprenante ; mais elle est conforme à la volonté des parlementaires d'être désormais plus associés à toutes les grandes décisions qui engagent l'avenir de notre nation.
On peut s'interroger plus sérieusement sur le calendrier. Quelle urgence y avait-il, en pleine crise financière, économique et sociale, alors que tout le monde s'interroge non sur l'avenir, mais sur le lendemain, à provoquer un tel débat,…