Il est certes intéressant. On nous dit qu'il s'inscrit dans le cadre de l'approche globale adoptée par le Conseil européen de décembre 2005 et dans le prolongement de la conférence ministérielle euro-africaine sur la migration et le développement tenue à Rabat. Selon l'exposé des motifs, l'accord « vise à faciliter la circulation des personnes et à encourager une migration temporaire fondée sur la mobilité et l'incitation à un retour des compétences dans le pays d'origine […] grâce à la formation et à l'expérience acquises au cours du séjour dans le pays d'accueil ».