Comme vous sentez très bien cela, monsieur le Premier ministre, vous changez de registre et vous nous dites en substance : c'est une décision fondamentale, et j'en apporte les justifications. Je voudrais me situer sur ce terrain, car c'est effectivement la question principale.
Mais auparavant, une précision, tout de même. Vous nous avez parlé de politique étrangère, et c'est normal : les choses sont liées. Je n'ai pas le temps, à cette tribune, de dresser le bilan détaillé de la politique étrangère de M. Sarkozy. Mais enfin, si j'en avais le temps, je distinguerais ce qui, incontestablement est bon, c'est-à-dire l'énergie dont fait preuve le Président de la République ;…