Monsieur le secrétaire d'État chargé de l'outre-mer, après la Guadeloupe et la Martinique, la Réunion est confrontée à son tour à un profond malaise qui a donné lieu à de violents affrontements, sans entraîner toutefois un blocage de l'île. Un collectif regroupant des organisations syndicales, politiques et associatives de la Réunion, le COSPAR, a formulé soixante-deux revendications, et des négociations sont actuellement en cours entre l'État, le patronat, les collectivités et le COSPAR.
Monsieur le secrétaire d'État, pouvez-vous nous faire un point de l'avancée de ces négociations ? (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)