La situation des enfants qui ne sont pas scolarisés en Guyane relève d'une responsabilité collective, impliquant tant les conseils généraux et les conseils régionaux que l'État. J'accepte donc d'en prendre ma part, mais vous avez aussi la vôtre, madame Taubira ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Mieux vaut aborder cette question par le dialogue et trouver des solutions constructives au bénéfice des enfants de Guyane qui ne sont pas scolarisés, plutôt que de profiter d'un amendement pour faire un effet de tribune ! Le moment n'est guère opportun, alors que je vous invite à vous asseoir autour d'une table…