Cela mérite que l'on se mette ensemble autour d'une table, pour examiner toutes les situations. Mais, je le répète, tout le monde ne peut pas prendre l'avion le 29 juin !
Si l'on veut discuter raisonnablement avec les compagnies aériennes et notamment celles qui disposent de délégations de service public, il faut leur permettre, entre les périodes de pic et de creux, de disposer d'un taux de remplissage un peu plus équilibré, pour obtenir une baisse tarifaire. Il n'est pas supportable de découvrir lorsqu'on réserve un vol par Internet, que d'une semaine sur l'autre, les tarifs ont été multipliés par trois ou quatre.