Une dernière phrase, monsieur le président.
En réalité, après avoir radicalement dévalorisé le travail en le réduisant à un moyen de gagner plus, vous dévalorisez aujourd'hui les travailleurs en les contraignant à accepter n'importe quel travail pour gagner moins. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)